Livre d'or

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SCHIAVONE
VOUS AVEZ RAISON DE VOUS BATTRE ET JE VOUS APPORTE MON SOUTIEN
COURAGE
CHAMPAGNE
DE TOUT COEUR AVEC VOUS, COURAGE
DELEUIL
Je soutiens la cause de cet agriculteur du var menacé d'expropriation.
nathalie
certains travaillent humblement, courageusement, d'autres s'enrichissent lamentablement... gardez espoir, la solidarité paye !
PETIT madeleine
je vous soutiens de tout coeur, le mépris affiché par Politi à la télé m'a scandalisé... il nous faut revenir aux valeurs chrétiennes seules garantes de la dignité humaine , que Dieu vous aide !!
Savonet
Nous partageons votre combat ! En 2005, nous apprenions que la municipalité envisageait de créer un "éco-quartier" composé de 2000 logements sur 40 hectares de terrains. Ce quartier, à forte concentration de cultures maraîchères, participait,dans le passé, à l'approvionnement de la ville de Besançon. Au fil des années beaucoup de producteurs ont cessé toute activité et n'ont pu jouir de leurs biens, les terrains sont gelés depuis une cinquantaine d'années. Producteurs depuis 3 générations, nous cultivons un peu moins d'un hectare dans la zone concernée. Nous arrivons nous aussi à la fin de notre activité, mais ne pourrons disposer de notre entreprise, la municipalité s'octroie le droit de récupérer notre terrain. Peut-être pourrons concerver notre maison ! Notre combat se porte aussi sur le prix du terrain. La ville de Besançon a payé 3,81 euros le m2 un terrain acheté à la veuve d'un maraîcher, terrain situé à moins de 2 kms du centre ville historique.
Bon courage !
Savonet
Nous partageons votre combat ! En 2005, nous apprenions que la municipalité envisageait de créer un "éco-quartier" composé de 2000 logements sur 40 hectares de terrains. Ce quartier, à forte concentration de cultures maraîchères, participait,dans le passé, à l'approvionnement de la ville de Besançon. Au fil des années beaucoup de producteurs ont cessé toute activité et n'ont pu jouir de leurs biens, les terrains sont gelés depuis une cinquentaine d'années. Producteurs depuis 3 générations, nous cultivons un peu moins d'un hectare dans la zone concernée. Nous arrivons nous aussi à la fin de notre activité, mais ne pourrons disposer de notre entreprise, la municipalité s'octroie le droit de récupérer notre terrain. Peut-être pourrons concerver notre maison ! Notre combat se porte aussi sur le prix du terrain. La ville de Besançon a payé 3,81 euros le m2 un terrain acheté à la veuve d'un maraîcher, terrain situé à moins de 2 kms du centre ville historique.
Bon courage !
Druet
Courage, ne baissez pas les bras.
Stock

Surtout ne baissez pas les bras...
roux
bonjour je ne suis pas dans l'agriculture mais je crois que chacun a le droit de vendre ou pas c'est terre a qu 'il il veut de plus je pense qu'il y a siffisament de grandes surfaces dans ce secteur il faut aussi respecter le petit commerce ils disparaissent dans ce secteur pour le profit des grands je suis de tout coeur avec vous courrage m roux .