Livre d'or

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patrice
2 semaine avant ta disparition je t'ai croisé sortant de l immeuble tu m'as serré la main et tu m'as dis "ça va mec"je m'en souviendrais toute ma vie
David
En souvenir de cette belle Fête de l'Humanité 2009, où j'avais eu le plaisir de te voir sur la scène Zebrock.
Pédeflous Elisabeth
J'ai eu le plaisir de l'entendre à Antraigues sur Volane en Juillet 2011 lors du 1er Festival Jean Ferrat. Merci Allain Leprest pour tous ces merveilleux textes.
carole
il était talentueux.
adieu l'artiste.
André Ponce
Allain est un accoucheur d'idées. Il est de ces gens qui volent et virevolte avec les mots, et au bout du conte du quotidien, on se retrouve assis à sa table, à partager ce qu'il reste de nos vies, et qui nous rassemble. C'est de la magie grandeur nature, sans artifice.
rachid
j'ai beaucoup aimé Allain dans les années 80 qu'en il faisait du cabaret
,ce fût une belle rencontre !
Je suis très peiné
Argence
Un écrivain à ses habitudes audio. Je te dois plusieurs chapitres ; ils collent à "Il pleut sur la mer", "Y'a rien qui se passe" et cent autres... Á la question : pourquoi si tard et en fermant les persiennes ? Je me suis répondu qu?il ne fallait pas t?écouter en pleine lumière, en plein papier télévisé, mais seul, dans un contentement de jolis mots, à deux, avec l?amour de sa vie et de la voir s?abandonner à ton écoute, à trois avec un autre bouffeur de textes ciselés, mais pas plus. En écoutant vomir Leprest, j?ai appris la nouvelle. Triste ou pas, je vais pas me regarder le nombril et continuer d?avancer. J?ai pas à te dire au revoir? C?est pas moi qui suis parti le premier.
le meur
un ami ma dit il ya une semaine, leprest tu connais? qui ça!, n'importe quoi, un poete!,curieux, ignorant je t'ai écouté, depuis je ne te quitte plus, nous avons raté le train de la vie, mais je me raccrocherai a ton wagon bientôt frero.
Diane
D'avoir vu ton visage, ton nom (certes) écorché, je me suis souvenue que tu étais parti. Je l'avais presque oublié, tu vois. Parce que tous les jours, chez moi, j'entends ta voix. Dans la rue, dans mon bureau, dans le camion qui parcourt des kilomètres à la rencontre des publics. Comme Mano, comme Bashung. Sans toi, je n'aurais pas choisi ce métier là. Pas la musique, pas les mots, pas les salles élégantes et les clubs dégueulasses. Merci Allain.Tu n'auras jamais valsé pour rien.
Olivier
grosse claque encore à t'entendre... Quoi, t'es mort ? Trop vivant en moi.